Messages de jm4skin35

    Jm4 tu travailles en milieu hospitalier ?

    Je pense que c'est à moi que tu poses la question Marie. Non, pas du tout, mais je m'occupe beaucoup du soutien moral à tous ceux qui vivent mal la circoncision et mon engagement m'amène à recevoir les témoignages, parfois émouvants, d'hommes que cette mutilation traumatisent lorsqu'elle est imposée. J'ai été horrifié en lisant plus haut ce que proposait cet urologue pour nos anciens dans les EHPAD !!! Et puis quoi encore ? Celui-là devrait être interdit d'exercer, car c'est tout simplement un appel à la torture et à la mutilation d'autres humains. Comme il est dit plus haut, le personnel que cela rebute de devoir faire les toilettes de ces personnes n'ont qu'à démissionner et changer de métier.

    Je ne pensais pas, qu’un jour, je décrirais mon plaisir sur un forum. Après un grand frisson des pieds à la tête, un spasme important, puis pendant une quinzaine de secondes d’autres de moindre intensité qui vont en s’affaiblissant. Je n’avais jamais ressenti cela avant la restauration.

    Ernest.

    Oui, c'est exactement ce que je ressens aussi en tant qu'intact ! :thumbup::)

    Oui Kody, tu as entièrement raison. Au passage, tu peux me tutoyer. Je pense que cela met de la convivialité dans nos échanges sur le forum, et c'est important à mon sens. Comme je l'ai déjà expliqué, j'ai été depuis très longtemps (une quarantaine d'années) sensibilisé au problème des circoncisions imposées, non nécessaires. En fait, d'un point de vue médical, peu de cas sont réellement nécessaires. Il y en a, mais ce n'est pas la généralité, et la circoncision est pratiquée comme solution de facilité et il faut bien aussi l'avouer, parce qu'elle rapporte des deniers aux pratiquants.

    Donc très jeune, je me suis intéressé au cas des USA et j'ai découvert là, les mouvements intactivistes, qui fort heureusement, continuent de se développer là-bas.

    En France, le problème est largement ignoré, et des mouvements comme Droit au Corps sont de véritables bénédictions. La grande majorité des "intacts" n'ont que faire de ce combat ; c'est le dernier de leur soucis. Et oui, je connais bien les humains, et on ne peut par dire qu'à l'heure actuelle, la générosité, l'écoute et l'entraide soient de mode. Nous en sommes au chacun pour soi, et il est clair qu'il est rare de rencontrer des personnes qui souhaitent aider les autres de manière tout à fait désintéressée, c'est bien dommage. Or dans notre cas ici, il s'agit de réparer une réelle injustice. Une mutilation imposée à des enfants qui n'avaient pas leur mot à dire alors qu'il s'agissait de l'intégrité de leur corps. Si à mon petit niveau, je peux aider moralement, alors mon but est atteint.


    Je voulais profiter de ce message pour m'insurger contre deux cas récents dont j'ai eu connaissance et qui me scandalisent. Et ils ne concernent pas des enfants pourtant, mais deux hommes respectivement de 69 et 71 ans ! Car les adultes sont parfois mal , voire très mal informés sur leur propre corps. Même à cet âge respectable. Or voici deux hommes qui viennent d'être circoncis, l'un à La Roche Sur Yon, l'autre à Angers, alors que médicalement, on pouvait faire autrement. Mais certains praticiens, du fait de la désinformation et des méconnaissances des hommes sur leur sexe, en profite pour circoncire toujours plus. Dans un des cas, le prétexte fut une infection urinaire, dans l'autre, et c'est encore plus scandaleux, d'un simple examen de la prostate en prévision, à l'aide d'une sonde endoscopique. Dans les deux cas, deux seniors atteints d'un phimosis relatif (décalottage impossible en érection, mais possible au moins partiellement au repos). Ce simple phimosis, qui aurait pû être traité autrement chez les deux hommes, a suffit aux deux médecins urologues pour imposer une circoncision que par défaut d'information, ces deux hommes ont cru inéluctable ! Le combat doit donc encore et toujours poursuivi afin de contrer ces médecins au bistouri trop facile ! Et nous devons continuer à informer les hommes, y compris adultes ou seniors, sur la quasi inutilité de la circoncision, même en cas de phimosis, cause principale évoquée pour circoncire. A noter aussi, c'est important pour les conséquences sensorielles visant ces deux messieurs, que les deux circoncisions en question ont été pratiquée de manière basse et serrée comme souvent en France. Ce qui laisse peu de chance à une restauration future éventuelle, en raison de l'absence de muqueuse subsistant. Dans les deux cas aussi, le frein a été supprimé. A noter que la guérison du monsieur de 69 (8 semaines) a été plus longue que celle du monsieur de 71 ans (3 semaines). Bien entendu, les deux ont rapporté un soucis d'hypersensibilité du gland au contact du textile, qui a commencé à s'atténuer nettement chez le monsieur de 71 ans dont la kératinisation du gland a commencé plus rapidement.

    OCP66C4 : C'est bien là tout l'intérêt de ma participation à ce forum. Mon rôle d'intact est d'aider à répondre à toutes les interrogations de ceux qui pratiquent ou envisagent une restauration du prépuce. Donc bien sûr, j'encourage tous ceux qui ont des questions "techniques" si on peut dire à propos du pénis intact, à me poser toutes les questions qui les tracassent, et je répondrai toujours avec la plus grande franchise. Mon but étant que chacun vive le mieux possible et le plus confortablement possible, physiquement et psychologiquement, sa restauration.


    Quant à toi OCP66C4, je suis absolument ravi que tes sensations soient les mêmes que les miennes ... cela signifie le degré de perfection de ta restauration et c'est là un très grand encouragement pour tous les autres. Tes constatations ne m'étonne pas du tout, car voilà très longtemps que je soutiens ce refus de la circoncision non nécessaire et surtout imposée ! Il y a 30 ans, j'en discutais déjà avec de nombreux américains, chez qui le mouvement intactiviste a débuté. J'ai conseillé et épaulé pas mal d'américains de ce point de vue, et tous sont enchantés aujourd'hui de leur restauration et des bénéfices sensoriels qu'ils pu en retirer, pour eux-mêmes, mais aussi pour leur couple en général . J'ai à ce propos, une pensée particulière pour Marie ...

    Mais il serait intéressant de savoir où son les sensations chez un intact pour comparer ce serait un exercice important.

    Et bien, me concernant, je peux te répondre facilement : Les meilleurs sensations se retrouvent principalement :

    1) au niveau du frein, même si celui-ci a disparu (rupture naturelle, médicale, ou tying up).

    2) au niveau de la couronne du gland

    3) au niveau de l'anneau préputial, c'est à dire à la jonction de la peau et de la muqueuse (jonction des deux faces du prépuce). Je peux même ajouter que pour cet endroit précis, selon la stimulation qui y est prodiguée, cela peut aller jusqu'à se transformer en "chatouillis", ce qui n'est pas obligatoirement l'effet recherché ! ;)

    4) dans une légère moindre mesure sur toute la muqueuse.


    Expérience sensorielle personnelle : Je ne saurais dire si les autres intacts sont comme moi, mais les décalottages appuyés du prépuce intensifient les sensations ressenties. La mise en tension du frein, ou de sa cicatrice de base, stimule les récepteurs nerveux et amplifient le plaisir. A noter aussi, que les sensations ressenties directement au niveau de la muqueuse du prépuce sont amplifiées par la lubrification naturelle, qu'il s'agisse du precum ou des sécrétions vaginales.

    Bonjour à tous ! maximum36 : En tant qu'homme intact, je peux te donner mon avis sur ta restauration en cours que je trouve absolument très belle. Tu t'étonnais il y a quelque temps de la différence de couverture entre matin et soir. Moi ça ne m'étonne pas forcément. La nuit, avec les érections nocturnes, il est normal que le gland se découvre naturellement. Y compris pour les hommes intacts. Chez beaucoup, dont le prépuce ne revient pas de lui même sur le gland, ce dernier est décalotté au réveil. Et on doit le remettre en place le matin. Maintenant, concernant l'épaisseur du prépuce. Ce serait une erreur de croire que le prépuce est forcément "fin". Loin de là. Chez moi, il est épais naturellement et long (ça c'est une chance, mais je n'y peux rien). Toujours est-il qu'on ne fait pas forcément la différence dans l'épaisseur de la peau du fourreau couvrant la hampe et le prépuce lui-même. Seul la face interne du prépuce, qui est une muqueuse, est plus souple, humide et de texture plus rosée. Sur cette photo ci-après, on voit bien l'épaisseur du prépuce.


    Quel magnifique travail OCP66C4 ! Le résultat est bluffant et je pense que c'est bien là la juste récompense de ta ténacité. Encore un peu de persévérance, et tu n'es pas loin d'avoir une couverture identique à la mienne qui suis réellement intact. Bravo ! Continue !!!

    Sebiohazard : Je terriblement triste de lire tes propos. C'est ce contre quoi je lutte depuis plus 30 ans ... et on ne commence tout juste à en parler vraiment que de nos jours. C'est justement tout l'intérêt de procéder à une restauration du prépuce, afin de retrouver déjà du plaisir. Cela commence, avec la couverture du gland, par le plaisir simple mais important du glissement du fourreau sur le gland.

    @ Marie : Oui, je comprends parfaitement. Il est évident qu'une section, voire une destruction complète du frein par la circoncision n'a rien à voir avec une déchirure naturelle, qui elle, ne supprime aucune terminaison nerveuse. Je suis malheureux pour toi et pour ton compagnon. J'ai eu de nombreux témoignages et discussions avec des hommes circoncis sur d'autres fora, et une majorité rapporte le même constat de perte de sensibilité lorsque leur frein a été supprimé par le chirurgien. Certains se plaignent en parallèle d'une perte totale de sensibilité dans le gland. Pour eux, parvenir à un véritable orgasme devient difficile, et le partage de la jouissance avec leur compagne devient un calvaire lorsqu'il est encore possible. En tous cas, tu as toute ma compassion Marie.

    Bonsoir Marie. Lors de masturbations, seul ou réciproques avec ma compagne, oui, c'est bien entendu un endroit que nous stimulons. Les terminaisons nerveuses , j'en suis bien d'accord, sont très certainement là et toujours aussi sensibles. Je t'encourage a en faire de même avec ton compagnon pour lui prodiguer un maximum de plaisir ! :)

    Par contre, votre photo m'a interpellé là. Si c'est vraiment un petit vestige de votre frein ça, je crois que j'ai quelque chose qui y ressemble bien. Je vais vérifier dès ce soir. Juste pour savoir, est-ce que ce petit 'bouton' est un peu sensible chez vous ?


    Oui, tout à fait, c'est étonnant, mais le si peu qu'il reste du frein demeure très sensible. Et ce qui est étonnant, c'est que la base de la hampe, où finalement le frein était attaché demeure sensible. Même si elle n'est plus vraiment visible, j'imagine qu'il demeure une cicatrice sous-jacente ...

    Bonjour Kody ! Je partage pleinement ton avis sur le fait que ce devrait être aux parents de s'occuper du phimosis de leur fils. Surtout à notre époque où ils ont tous les moyens pour être bien informés. C'était très différent il y a 40 ou 50 ans de cela. A l'époque, il y avait encore de nombreux tabous à parler de sexualité en famille et on n'abordait que très difficilement ces sujets, quand bien même ils étaient abordés. C'est pourquoi à ce moment-là, l'attitude de mon grand-père a été à mon sens exemplaire et remarquable, et je ne manque jamais de lui rendre hommage lorsque cela se présente. Je suis d'ailleurs très touché par tes mots à son égard et je t'en remercie infiniment. Il aurait apprécié, mais aurait tout à la fois trouvé simplement qu'il avait agit du simple bon sens.


    Tu as également raison d'être surpris à propos du frein, car effectivement, généralement la rupture laisse une cicatrice visible ou des vestiges. Mais lorsque le frein est relativement court et fin comme il l'était chez moi, ces "vestiges" finissent par s'éroder et disparaître quasi totalement. Il est cependant demeuré un petit "nodule" sur la hampe, peu visible, et qui a fini par s'éroder au fil des rapports, des années, et peut-être aussi grâce à la crème à base de beurre de karité que j'avais appliqué pendant un temps dessus, et qui m'avait été conseillé par un dermatologue. Je ne sais pas si le résultat est "beau" (?) mais en tous cas, il est vrai que cela fait propre. Mais je n'y suis pour rien ... il faut simplement remercier là Dame Nature !

    Bonjour OCP66C4 ! Oui, bien sûr, le fait d'avoir pu garder mon prépuce intact a permis de conserver la muqueuse du gland humide et douce, sans aucune kératinisation. Et c'est une grande chance pour le maintien de toute la sensibilité.


    Pourquoi j'ai échappé à la circoncision ? C'est très simple. A peu près comme notre ami Ernest, et comme je pense beaucoup ici, on m'avait diagnostiqué un "phimosis" lors de la visite médicale quand j'étais au CM1 il me semble me rappeler. Mais il se trouve que dans ma famille "on ne parlait pas de ces choses-là" à cette époque et que tout ce qui touchait ce sujet était profondément tabou. Donc sujet clos. La même année, quelques jours plus tard je me suis retrouvé en vacances d'été chez mes grands-parents maternels. Je ne me rappelle plus comment le sujet est venu en discussion mais j'ai dit à mon grand-père que la docteresse qui m'avait fait passer la visite médicale à l'école, avait dit qu'il fallait que je vois le docteur de famille pour un problème avec mon "zizi". Et c'est parce que mon grand-père, bien plus ouvert (ancien marin qui a parcouru le monde, ceci explique peut-être cela) que mes propres parents a eu l'idée de vérifier les dires du médecin, que j'ai échappé sans doute à une circoncision promise. Bien sûr à cet âge-là, je n'avais pas une idée très précise des choses du sexe masculin, mais mon grand-père a été suffisamment pédagogue pour que je comprenne bien ce qu'il faisait et pourquoi il le faisait. De ce fait, il m'a emmené dans la salle de bains, et il m'a expliqué qu'il allait regarder le problème remarqué par le médecin scolaire. Il a alors constaté qu'effectivement, je ne décalottais pas (et m'a expliqué comment cela devait fonctionner et pourquoi, avec des mots justes et à ma portée). Il a alors regardé dans l'armoire à pharmacie et en a sorti un flacon d'huile d'amandes douces et du coton. Puis avec délicatesse, il a tiré le prépuce très doucement vers l'arrière tout en "essuyant" la peau et le gland avec le coton imbibé d'huile. Peu à peu le gland est apparu ; j'avoue que j'étais d'autant plus captivé, que je voyais cela pour la première fois d'une part, et que n'ayant aucune douleur réelle, j'en étais plus attentif à ses gestes. Il m'a expliqué que la docteresse avait exagéré les choses et qu'il s'en doutait. Que je n'avais pas de phimosis, mais juste la peau du prépuce encore collée au gland et qu'il était en train d'arranger cela. En fait, il était en train de faire céder les adhérences naturelles qui existent chez tous les petits garçons ... Le seul moment un peu désagréable fut le passage de la couronne du gland où il a fallu qu'il force un peu. Mais la petite douleur fut brève et après quelques mouvements de passage, tout fonctionnait parfaitement.


    L'information prodiguée par mon grand-père fut ensuite complétée par le fait qu'il m'a fait prendre conscience du frein qui à l'époque, faisait se courber le gland vers le bas au décalottage complet. Il m'expliqua qu'il ne fallait pas s'inquiéter de cela et que les choses s'arrangeraient toutes seules plus tard, et qu'il fallait laisser faire la nature. Il m'expliqua que cette petite bride était là pour empêcher le gland de rester découvert afin que le prépuce le protège durant l'enfance. Mais que plus tard, elle allait se casser quand elle ne serait plus utile. C'était en effet une façon un peu personnelle de voir les choses, mais qui a au moins eu le mérite de faire en sorte que je ne me suis absolument pas inquiété le jour où mon frein s'est déchiré et rompu en faisant l'amour avec ma première copine. Les choses étaient tout simplement normales.

    Bonjour Sebiohazard : Oui, je suis intact car par chance et grâce à la vigilance de mon grand-père, j'ai pu échapper à la circoncision. Si cela intéresse les autres membres de ce suite, je pourrai apporter mon témoignage, peut-être dans la rubrique destinée aux jeunes parents, car mon cas est assez exemplaire et significatif de ce point de vue. Car comme je l'ai écrit dans mon encadré ci-dessus, on confond bien trop souvent phimosis et adhérences préputiales, voire brièveté du frein. Or dans ces trois cas, la plupart du temps, la circoncision est inutile, voire néfaste. Il serait grand temps de changer d'attitude et que les médecins cessent de voir en l'ablation du prépuce, la solution miracle (solution de facilité en réalité) au moindre problème mineur touchant cet organe.


    Quant au frein, pour répondre à ta question Sebiohazard, cela s'est passé de manière "naturelle" si je puis dire, en ce sens où il s'est déchiré dès le début de ma vie sexuelle lors d'un coït ordinaire. La seule comparaison que je puis donc faire est celle ressentie avec le frein intact lors de mon adolescence pendant mes activités de masturbations, et toutes les autres par la suite, où je n'avais plus le frein. ABC Phimosis explique bien sur son site ce phénomène de la déchirure naturelle du frein. Généralement celle-ci n'est que partielle, et a pour conséquence une cicatrisation avec allongement bénéfique d'un frein trop court. Mais il arrive comme chez moi, que le frein se déchire complètement jusqu'à sa base et là, il ne se "ressoude" pas. Les deux bouts sectionnés finissent par se dessécher et la peau morte tombe. Avec le temps et les rapports sexuels d'une vie entière, il finit par totalement disparaître sans laisser de tracer visible. Dans mon cas, ayant été sectionné très trop, je n'ai quasiment connu qu'une sexualité "sans" le frein. Mais je me souviens très bien que j'avais beaucoup de plaisir adolescent à le solliciter dans mes masturbations, et je pouvais décecncher des orgasmes rien qu'en le stimulant. Ceci étant, et cela rassurera sans doute tous ceux qui n'ont plus de frein à cause d'une circoncision, non, franchement, je ne pense pas avoir perdu beaucoup de sensibilité et j'ai toujours ressenti un grand plaisir sexuel. Les images illustrent l'état actuel à 55 ans de mon pénis intact. Le frein a totalement disparu avec le temps.

    Edit Bech : Morceau de discussion déplacé après avoir été dans le sujet Restauration d'Ernest


    Bonsoir Ernest ! Encore bravo à toi pour ce travail ! Mais ce médecin scolaire a eu une attitude classique, d'ignorance pourtant largement dénoncée. On ne doit pas décalotter de force un enfant. Jusqu'à l'âge de 10 ans il est inutile de s'affoler. Bien souvent, il n'y a en réalité aucun phimosis, mais uniquement des adhérences préputiales entre le gland et la muqueuse interne du prépuce. Celles-ci cèdent d'elles-même avec le temps et peuvent parfois persister jusqu'à 10 / 12 ans. Forcer le prépuce d'un enfant peut en réalité déclencher un phimosis dit "acquis", alors qu'il n'y en a pas forcément un au départ ! C'est idiot .


    Quant au frein, oui tu as de la chance. Moi, j'ai beau être intact, je n'ai plus de frein malheureusement et je le regrette bien. Comme un certain nombre d'autres hommes non-circoncis, le mien s'est rompu lorsque j'étais un jeune adulte pendant un rapport sexuel. J'aimerais à ce sujet tordre ici le cou à une idée préconçue très répandue et totalement fausse, que j'ai lu de multiple fois sur le web, selon laquelle un pénis intact dont le frein n'existe plus reste "décalotté" en permanence. C'est faux, et je peux en témoigner, cela rejoint un autre sujet récent de ce forum, que cela n'empêche pas le retour automatique du prépuce sur le gland au repos après un décalottage ... Tout dépend de l'indice de CI. A CI 9 ou 10, il y a toujours retour automatique de la couverture du prépuce sur le gland. D'où l'intérêt aussi, pour les restaurations de persévérer afin d'obtenir un CI maximum même si la circoncision préalable a privé le pénis de son frein.

    1/son âge, 55 ans

    2/En couple ou non (si si c'est important de situer ça aussi), divorcé, à nouveau en couple

    3/l'age où l'on a été circoncis (ou pas), Intact, mais plus de frein

    4/La raison de la circoncision, Non concerné. Frein rompu lors d'un coït.

    5/Si on est en phase ou non de restauration si oui la date de démarrage de la restauration. Non concerné

    6/Matériel utilisé pour la restauration Non concerné

    7/La première raison qui vous pousse à faire cette restauration, en une phrase (petit exercice de style...) Non concerné

    8/ Êtes-vous satifait de votre restauration à l'heure actuelle? Pourquoi, en une phrase, Non concerné

    9/ un truc auquel je n'aurais pas pensé mais que vous aimeriez dire en plus. Ici pour encourager tous ceux qui entament ou pratiquent une restauration du prépuce, pour témoigner des bienfaits d'avoir un prépuce intact (et long chez moi), et de ma totale opposition à la circoncision (sf cas médical d'extrême nécessité).