Ces jours derniers, sur l'écran de mon ordinateur, ressort la discussion à props du décalottage forcé subie et relatée par fw190a.
Alors, moi, plus de 70 ans après, je la revois cette femme, médecin scolaire.
Je suis en slip devant elle.
"Fais voir ! " dit-elle.
Elle baisse mon slip en coton tricoté par ma grand-mère.
Je revois sons sourire.
Je recule pour échapper à ses mains, à ses doigts qui veulent me toucher, ouvrir mon prépuce..., le tirer en arrière ; j'ai mal.
Je comprend qu'elle n'arrive pas à faire ce qu'elle veut.
Je ne comprends pas ce quelle veut.
Chez moi, je me retiens pour uriner ; ça me fait trop mal.
Mon prépuce "brûle".
Je m'en souviens encore...
Me Too, moi aussi. Une violence sexuelle...
Ernest