Car la mutilation crée sur souffrance physique et psychologique qui nourrit une probabilité de violence.
Je rappelle quand même que la circoncision amène a la dépression voire au suicide . Ceci existe même si c'est très minoritaire a l'échelle mondiale.
Sans aucun doute, la circoncision peut entraîner des souffrances physiques et psychologiques, qui dans des cas extrêmes peuvent conduire à la dépression et au suicide. Est-ce que celà nourrit une probabilité de violences (sexuelles, objet du questionnaire) reste une hypothèse qui ne sera pas résolue par le questionnaire proposé par Marie, puisque la variable circoncision n'y est pas introduite, à moins que j'ai raté un épisode.
Je reformule ma question à Marie.
En quoi les résultats de ce questionnaire pourront faire avancer la cause de la circoncision et argumenter l'arrêt de cette mutilation, comme elle le laisse entendre ?