Messages de Vincent

    Pour avoir étudié ce qui était émis lors de mes ejaculations j'ai pu constater que chez les intacts la fin des ejaculations était marquée par des restes d'ejaculat très visqueux (blanc d'oeuf). J'ai comme l'impression que les ejaculations ne sont composées essentiellement que de spermatozoïdes (blanc) et d'émissions prostatique mais pas de ce liquide gluant qui est secrèté par les vésicules séminales ou du moins très peu. Je le remarque notamment quand j'ai enchaîné plusieurs masturbations dans la journée où j'ai comme de l'eau qui est expulsée (toujours sans pression bien sûr). Par contre j'ai eu peu d'informations sur la modification de l'aspect et de la quantité du sperme après une circoncision. Je sais pas si il y a des infos sûres dessus.

    Pour les gens circoncis gay, je ne sais pas si vous avez remarqué chez vos partenaires intacts une différence dans vos fluides (sperme, liquide pré-éjaculatoire) ? De mon côté j'ai l'impression que la dernière fraction qui compose le sperme , qui provient des glandes séminales (50% du volume du sperme), le liquide séminal, est manquante chez moi avec du sperme souvent très liquide comme du liquide prostatique essentiellement. Clairement, je ne sais pas d'où cela peut provenir mis à part la circoncision ou un des canaux bouchés ( avant mon opération il me semblait que tout allait bien de ce côté là). Niveau liquide pré-éjaculatoire là aussi, on est pas du tout sur les mêmes quantités ...

    Pour ce qui est de mon témoignage je ne tiens pas à le divulguer sur Droit Au Corps de suite, si ça doit être fait laissez moi rectifier mon message en le retravaillant un peu.


    Pour la restauration j'envisage peut être de le faire oui. Je vois bien que sans cette peau mon corps n'en redemande pas comme il a pu en redemander avant d'être opéré. Une sorte d'excitation qui diminue progressivement depuis 7 ans. Je ne l'ai pas ressentie jusque là mais le fait d'être en couple me permet de voire qu'une cassure a bien été faite pendant cette opération.


    Cette partie de moi je ne la retrouverait jamais vraiment, les douleurs psychologiques sont fortes mais je tiens le coup. Je ne me considère pas comme un intactiviste mais comme une personne à qui on a annoncé une simple incision dans le prépuce et qui se retrouve sans prépuce et qui veut que l'on arrête cette injustice et proposer des moyens secondaires pour traiter des phimosis, partiels qui plus est. Mais par dessus tout arrêter les circoncisions des nourrissons qui n'ont rien demandé et qui n'avaient pas leur mot à dire.


    Donc dans les semaines à venir je voudrais que ce témoignage soit poster sur DAC pourquoi pas oui mais pas tout de suite, laissez moi un peu de temps pour le retoucher afin que mon identité soit gardée plus secrète.

    Sans vraiment songer à la restauration dans un premier temps j'aimerai revenir sur un truc. J'ai commencé à me masturber vers mes 13 ans, j'ai donc, même si mes souvenirs sont pauvres, connu un petit avant et un après. Bon l'avant ne rapporte guère de souvenirs hormis le fait qu'une simple image pouvait me faire bander en un rien de temps, bon bien sûr entre temps le porno est arrivé avec une excitation qui s'est vue à la baisse au fil des années (et je n'ai que 23 ans) . Mais si je dois retenir un truc c'est mon excitation générale je pense qui a bien changé.


    Je ressens une grande différence entre mon excitation et celle de mon copain. De plus lorsque nous finissons j'ai l'impression que la montée de plaisir s'effectue bien plus rapidement chez moi que chez lui avec à la fin des ejaculations bien plus volumineuses et puissantes chez lui que chez moi. Peut être qu'avec les nerfs enlevés la sensations du '' ça vient '' arrive plus tard et que le mélange ne se fait plus correctement, je ne sais pas..


    Je peut témoigner d'une ejaculation massive avant mon opération où j'ai ressenti une forte sensation de bien être qui m'avait même fait peur. C'est ma référence depuis et je pense que c'était ça un orgasme. Maintenant c'est plat et je me réconforte avec les moments passés avec mon copain hors sexe et pendant juste par le moment passé avec lui sans me focaliser sur le ressenti. Je prend du plaisir à le voir prendre du plaisir et c'est comme ça que je fonctionne du coup. Même si au final je suis souvent déçu de mes ejaculations à la fin et un peu jaloux de mon copain qui émet de sacré jets parfois, je me réconforte avec les moments passés ensemble pensant l'acte.


    Pour ce qui est de la restauration, je verrai cette année pour prendre une décision même si pour le moment je préfère me contenter de prendre plaisir dans les moments autres que le sexe en lui même qui ne sera que du plus on va dire. Je ne veux pas être cette personne qui passe sa vie à reconstruire quelque chose qui a été fait indépendamment de sa volonté car au départ c'est une simple incision qui m'était destiné.

    Je ne veux pas rechigner toute ma vie cette partie de moi. Maintenant je suis blessé, oui c'est handicapant car il y a des séquelles, oui je ne peux plus faire jeu égal avec les personnes qui sont intactes. Il faut qu'on se dise que nous circoncis nous avons été blessés en nous enlevant une partie de nous qui a deterioré une fonction du corps qui demande à la base beaucoup de délicatesse alors un coup de ciseaux ça ne va pas arranger les choses.


    Je verrai donc pour la restauration. Il faudrait que j'ai pas mal de bons retours déjà sur la restauration pour voir si ça vaut vraiment le coup. Je préfère me sentir fort et dire haut et fort ''oui j'ai été blessé, affaibli et humilié mais je suis là plus fort que tout pour repousser cette peur de ce que je suis devenu, de ce que l'on m'a infligé, de ce sentiment d' impuissance, de castration, d'accès au plaisir''. Je veux servir d'exemple (même si je suis gay et que ça sera pas facile) pour prouver que derrière cette pratique se cache des mauvaises choses.

    La restauration pourrait être une de mes solutions plus tard à condition que mon état psychologique soit beaucoup plus stable et que j'arrête d'essayer de devenir normal en me branlant de manière compulsive dans ressentis juste parce qu'il faut le faire... Quelle plaie cette opération, je pense que je préférerai perdre un, deux oh trois doigts tiens.. Enfin c'est comme ça. Et courage à vous tous qui souffrez comme moi et qui ne se font pas entendre. Moi je vous soutient et aimerai même faire la rencontre de certains pour discuter (messages en pv).


    Ne désespérez pas et profitez de tout ce qu'il y a autour sans bien sûr laisser de côter ce problème qui restera ancrer dans vos tête toute votre vie. Il faut être fort et tenir bon, je sais même pas si je vais y arriver moi mais faire ça ce sera faire preuve d'une grande puissance et combativité.

    Merci pour vos premières réponses, tout d'abord mon copain n'a pas 16 ans mais 30 et puis c'est vrai que si on compare nos ejaculations je trouve que côter quantité ou puissance d'expulsion ce n'est pas la même chose du tout. Je me souviens d'une fois dans la douche (c'était avant l'opération) où je découvrais la masturbation à 13-14 ans avec une sensation d'extrême plaisir et des jets de sperme qui ont percuté la paroie de douche, un souvenir qui est revenu récemment peut être grâce à une journée passée avec mon copain où j'ai senti l'excitation monter peu à peu et le soir une fois qu'il est parti j'ai entamé une séance de masturbation avec des ressentis d'avant l'opération, la sensation est restée brève mais elle était là, de la même ampleur que celle ressentie à mes 14 ans il me semble l'orsque j'ai ejaculé pour la première fois (mais cette fois il m'a fallut finir au porno avec peu de matière au final, bon...) , je m'en souviendrais longtemps de cette sensation à 14 ans, une référence que je doute pouvoir retrouver surtout dans pareil état psychologique et physique.


    J'ai longtemps vécu sans me poser de questions mais depuis que je suis en couple avec celui que j'aime j'ai en quelque sorte découvert la réalité de la chose qui se cache derrière cette opération ''banale''. Quelqu'un comme moi qui aime rendre les gens heureux et qui n'est pas capable de l'être, je me demande des fois ce que j'ai pu faire dans ma vie pour mériter telle chose.


    Sinon, la restauration j'y ai pensé oui mais est ce que je serais assez fort psychologiquement pour tenir le coup. Ne serais-je pas mieux comme ce que j'ai été durant ces dernières années en mettant le sexe de côter ? J'ai discuté avec des amis qui ne sont pas opérés et quand j'entend '' si je le fais pas une fois par jour je deviens fou'' je me dis pourquoi je n'ai pas ces mêmes envies. Pourtant mes niveaux sont bons, testosterone à 8, en pleine santé, un peu rêveur mais bon je ne sais pas (j' ai un taux de prolactine assez élevée, cette hormone qui agit après l'orgasme pour calmer l'excitation semble t'il: serais-ce mon corps qui me protège finalement de ce que je ne veux pas voir, toutes ces questions...).


    Je pense qu'être gay, circoncis et sortir avec un homme '' normal '' fait se poser des questions qu'il ne vaudrait mieux ne pas se poser. Ces questions je pense que je me les suis toutes posées, maintenant j'encaisse tout tout seul (du soutient de la part de mon copain qui me comprend mais parfois quand on fait l'amour je ne comprend pas, j'ai peur de tomber dans cette jalousie de le voir prendre bcp de plaisir alors que moi moins. J'aurai tellement voulu sentir plus cet amour si beau qui nous lie. Si je me relâche plus peut être que oui. Je le désire tellement pourtant). J'ai pensé à arrêter et rester seul pour laisser cette partie de moi se reposer et m'en servir surtout pour aller pisser. Alors la restauration pourquoi pas oui mais si je ne suis plus en couple je n'en vois pas l'envie et je vivrais mieux le fait d'être bien avec moi même en laissant cette partie de côter. Mais puisque je veux que ma relation dure le plus longtemps possible, pourquoi pas.


    Pour mon bien je ne veux pas que vous parliez de mutilation, amputation etc.... Je sais déjà que ça en est une et c'est trop dur d'endurer ça de nouveau alors que ça tenait à rien cette opération qui aurait pu me filer entre les mains. Je pense à mes parents qui ont fait confiance à un '' professionnel ''. Je leur en veux bien sûr, mais je pense que eux aussi s'en veulent d'avoir fait ça bien que je les entends encore dire que ça reste une opération courante... Bon, ils font les sourds peut être. Quoi qu'il en soit leur fils souffre et risque de souffrir une bonne partie de sa vie.. . Je n'ai pas envi de ressembler à cette personne triste et qui a perdu le goût de vivre. J'aime rire, j'aime aussi les moments où je suis seul avec moi mais j'aime être heureux. Toutefois avec ce que je traverse c'est très difficile...


    Je ne sais pas comment tourner la page.

    Bonsoir à tous, je suis nouveau sur le forum et j'ai mis du temps à me décider avant de publier. Avant de commencer je pense qu'après avoir écrit ici je me sentirai moins seul par la suite même si je ne sais pas encore comment me sortir de la crise que je traverse avec '' moi même '' ou du moins ce '' moi même '' que je suis peut être devenu en dépit d'une soit disant opération '' banale ''.


    Bien je commence, voici mon histoire. J'ai actuellement 23 ans, je suis quelqu'un de plutôt jovial qui aime la vie, les plaisirs simples, voir les gens heureux, qui aime faire du sport, étudier et aussi qui aime manger (je suis gourmand..) . Tous ces plaisirs qui font de moi ce que je suis maintenant et qui m'entourent encore en ce moment bien que les choses aient beaucoup changé depuis quelques mois.


    J'en viens donc maintenant au fait. Je suis circoncis depuis l'âge de 14 ans où on m'a fait état d'un phymosis partiel (le decalotage était possible au repos mais pas en erection) qui me gênait un peu: j'en ai donc parlé à mes parents, bref... . À mes 9 ans j'avais déjà fait à un passage au cabinet d'urologie pour des problèmes de décalotage mais à mes 14 ans la décision a été prise pour que l'on me fasse une posthectomie (c'est joliment dit) après quelques hésitations du chirurgien urologue pour une simple incision dans le prépuce. De toute manière je cite '' ça ne changera rien du tout, c'est une opération banale, au contraire vous serez débarrassé de vos problèmes ''. Je pense qu'il avait raison, je suis en partie persuadé que cette opération a agit sur moi comme un modérateur (vous comprendrez plus loin dans le texte)

    De mes 14 ans à mes 22 ans j'ai continué ma scolarité puis entamé des études à Toulouse dans une université scientifique sans me préoccuper de ce que l'on m'avait fait. Je précise que je suis homosexuel, cette homosexualité a été difficile à assumer car je n'aimais pas me sentir tel quel et différent des autres, une sorte de honte. J'ai donc vécu seul jusqu'à mes 22 ans, entouré de ma famille certes mais quand même seul (j'ai commencé à habiter seul à partir de 18 ans) , sans me soucier de rien du côter sexuel car le sexe à deux ne m'attirait pas et n'ayant pas connu l'amour jusqu'ici je n'en voyait pas l'envie. En ce qui concerne la masturbation, je n'ai pas de souvenirs sur la fréquence même si à des moments c'était plutôt après manger et/ou le soir sans réelle dépendance toutefois (avec quand même une impression de besoin de moins en moins présent au fil des années, mais ça je m'en rend compte maintenant donc est-ce que je suis objectif ? À vous de me le dire) .

    Bref quoi qu'il en soit pas de souvenirs marqués... Le seul souvenir qui jusque là est resté encré date d'avant mon opération où j'avais déjà commencé à me masrurber et avait connu une/des sensation(s) que je n'ai jamais retrouvée(s) depuis (si une fois mais pas longtemps et dans des conditions particulières, je vous expliquerai) avec comme souvenir (ça date maintenant...) un geyser en sortie de tuyauterie qui s'est transformé en écoulement lent et peu abondant depuis pas mal d'années. Mais bon, dans mon ignorance je me disais que c'était normal, peut être avec l'âge je ne sais pas.


    Depuis l'été dernier je suis en couple avec un homme que j'aime vraiment beaucoup et qui m'aime lui aussi à même hauteur. Malgré notre difference d'âge de 7 ans ( il n'a pas 16 ans lol) et nos premiers débuts sans encore aborder le sujet du sexe, je me disais que j'allais vivre une relation à deux avec une personne très gentille et très généreuse que j'aime toujours et que je continuerai d'aimer le plus longtemps possible j'espère.


    Les complications sont apparues lors de nos premières fois (il s'agissait uniquement de masturbation au debut et c'est toujours le cas). Dans un premier temps, de mon côter curieux, je lui ai demandé s'il se masturbait souvent et depuis quand... Etc.. Je n'irai pas plus loin là dessus car ce n'est plus ma vie privée mais je peux dire que ses reponses ne m'ont pas rassuré. Je ressentais aussi une excitation chez lui dont je ne comprenais pas le moyen de l'atteindre, à ce niveau en tout cas. Je me demandais même comment il était possible de se mettre dans pareil état avec un battement de cœur qui côtoyait du 110-130 ppm. Non clairement je ne comprenais pas ce qu'il se passait. Ça m'a fait réfléchir. Une fois où cela m'a marqué c'est lorsque, pendant une promenade, je me suis lancé et commencé à lancer les festivités. Je ne savais pas ce que c'était du liquide pré-ejaculatoire, j'ai eu une démonstration saisissante de ce que c'était tout ça avec des expressions faciales et corporelles que je ne connaissais pas. Bien sûr ce ne sont pas les seuls faits il y en a d'autres (érections plus rapides, ejaculations plus importantes et spectaculaires,...) Je tiens à signaler que mon copain n'ai pas circoncis.

    Je dois dire que , après plusieurs conversations sur notre passé en solitaire et les constats de ces derniers mois, j'ai l'impression d'avoir une libido assez voire très inférieure à la sienne ( je suis plus jeune de 7 ans tout de même) en essayant de me dire que ce n'est pas à cause de cette opération. Non quand même, une simple opération si banale ne peut pas affecter votre libido enfin... mouais.


    Les jours ont passé, les mois aussi et j'ai commencé à entamé des recherches sur internet que je n'aurai jamais dû entreprendre car oui ça m'a fait mal et ça continue de me faire mal. Je suis tombé dans une profonde réflexion sur moi même avec une vision de mon sexe toujours négative (ça devait l'être aussi avant, mais avant je n'y pensais pas puisque je ne pouvais pas me comparer directement). Ce qui me fait le plus peur dans tout ça c'est de savoir que ce qui a été fait aurait pu selon moi être évité mais par dessus tout ce sentiment de retour en arrière impossible, de devoir rester comme ça jusqu'à la fin de mes jours avec un sexe blessé, et ses capacités diminuées, un sexe qui ne demande qu'une chose c'est qu'on le laisse tranquille après tant de blessures infligées (j'entend encore les '' vous serez tranquille comme ça '', oui si on résonne comme ça c'est sûr). Enfin bref, de nature joyeuse je ne vous cache pas qu'après des mois de lecture, de témoignages, de confrontation à la réalité qui va de sens avec ce que j'ai lu, de pensées négatives irremplaçables j'ai essayer à deux reprises d'en finir (sans aller jusqu'au bout) car je ne voyais aucune issue à ce problème.

    Une vie amoureuse qui mêle amour mais jalousie ainsi que refus de sois, sentiment d'incompréhension autour de soi (c'est psychologique x10000, je ne sais pas cobien de fois on a du me le dire après agir vu l'uro qui m'a opéré, un sexogue renommé, docteurs, psy...) , sentiment de ne jamais connaître ce que j'aurais pu connaître en étant intact ( je ne sais pas si c'est mon état psychologique qui me fais ressentir peu de choses pendant ces masturbations à deux, sans lubrifiant je tiens à signaler) et ce sentiment de réparation complète impossible.. C'est sûr que mon petit cerveau en a bavé et continue d'en baver... Heureusement que j'ai mon copain qui m'aime parce que seul lui a l'air de comprendre ce que je traverse, comprendre plus que les autres du moins.


    Voilà, j'ai plein d'autres choses à raconter mais le recap est ici. Je vis donc très mal mon opération alors que j'ai vécu 6 ans avec (depuis mes 14 ans) en me cachant la vérité (je n'osais pas trop regarder car je ne reconnaissait plus cette partie de mon corps, c'est d'ailleurs encore le cas). Je ne pensais pas que ça prendrait de telles proportions de se faire retirer un bout de sois même, un petit bout que je vis maintenant comme une sentiment de castration. Oui j'en souffre et chaque jours depuis près de 9 mois maintenant je ne fais qu'y penser, penser à mon présent si je n'avais pas été opérer.


    Il y a un sentiment particulièrement désagréable qui me hante depuis ces derniers mois, celui de se sentir incomplet pour des raisons qui ne côtoient pas l'accident mais qui relèvent de la bêtise humaine sans essayer de comprendre le corps (on peut se demander si une opération comme celle-ci rapporte beaucoup aux caisses des hôpitaux, ça ne m'étonnerai même pas).


    Voilà, j'espère que mon histoire vous a touché et que vous me comprenez. C'est avec beaucoup de réflexion que j'ai décidé de poster sur ce forum et j'espère que vous me comprendrez dans ce que je suis en train de traverser. J'attend vos retours.


    Bonne nuit à vous, Vincent.

    Bonjour, je me présente je m'appelle Vincent et si je suis là aujourd'hui c'est pour trouver du réconfort et des gens qui savent de quoi je parle. Je viendrai parler de mes soucis dans la conversation appropriée sur le forum.



    1/23

    2/Oui

    3/14

    4/phymosis partiel

    5/pas encore décidé

    6/..

    7/pas encore décidé mais si j'ai assez de courage pour me lancer, retrouver ce que j'ai perdu

    8/..

    9/ je suis homosexuel