Jean-Jacques contre la circoncision:
"L'acier qui nous mutile du satin,
"Nos blessures inutiles au lointain,
"Nous ferons de nos grilles des chemins,
"Nous changerons nos villes en jardins."
Jean-Jacques Goldman - Il suffira d'un signe - YouTube
Jean-Jacques Goldman semble s'en être sorti !
- Sigismond
- Discussion fermée
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Qu'est ce qui nous permet de rattacher la circoncision à ces blessures inutiles au lointain ?
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j'allais poser exactement la même question !
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Idem.
Il a fallu que je cherche les écrites paroles de la chanson, mails elles ne m'ont pas convaincues.
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Je n'avais jamais lu ni entendu attentivement les paroles de cette chanson. Evidement "L'acier, le satin, les blessures inutiles " peuvent évoquer la circoncision. Mais les paroles suivantes, que disent-elles réellement ?
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Toujours les mêmes qui doutent, redoutent, et dénient l'évidence : "L'ACIER qui nous MUTILE du satin".
Selon eux, ça doit être la paire de ciseaux du coiffeur !
Mais pour Ernest, les paroles suivantes disent qu'un monde sans circoncision sera un monde meilleur (Violence et circoncision : génocides, guerres, terrorisme, peine de mort, excision (mis à jour 19.08.2017) | Michel Hervé Bertaux-Navoiseau - Academia.edu).
Maintenant, Droit au corps pourrait poser la question à Jean-Jacques.
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Je n'avais jamais porter attention aux parolex de cette chanson. A leur lecture attentive, je n'ai pas de doute ! j'ai bien réalisé qu'il s'agissait de la circoncision et je ne fais pas partie de "toujours les mêmes qui doutent...
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Et vous en déduisez quoi au final ?
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Eh bien, avec Leonard Cohen et Jean-Jacques Goldman, il semble que les artistes ne s'en tirent pas trop mal.
Au moins, ils parviennent à condamner.