Circoncision et excision: des rites arrimés à l’héritage de la loi du père

  • Citation

    Le moins possible de cruauté est une exigence d’humanité. Ne pas faire souffrir et ne pas se faire souffrir, tel est le critère supérieur pour concevoir une vie qui élève les hommes au lieu de les rabaisser. Or, que se passe-t-il en réalité? Maintes coutumes, fomentées par la crainte de la mort et le besoin de salut, sont utilisées pour ségréger. Un rite sacrificiel, parmi d’autres, est parlant à ce plan: celui d’un machisme arrimé à un héritage mémoriel qui tait son origine sadique. Je veux parler des mutilations prônées par l’une ou l’autre croyance religieuse. L’excision et la circoncision, voulues et pratiquées par des hommes au pouvoir, voire par des femmes soumises à la volonté du clan patriarcal, sont des pratiques ignominieuses. Etudiées de près, elles relèvent d’actes que rien ne justifie, hormis la morsure de la loi ou de la voix du père tout-puissant.


    Lire la suite : Circoncision et excision: des rites arrimés à l’héritage de la loi du père | L'Hebdo

  • La première orthographe ne m'avait pas choqué, mais pour la prononciation, je penserai somme Caillou.


    Toutefois, en regardant les 2 mots avec un moteur de recherche, on constate qu'ils sont admis tous les deux (2 pages distinctes dans le wictionnaire par exemple).


    Quand à la conjugaison, on trouve nous ségrégeons et nous ségréguons, ce qui permet de conclure que les deux verbes ont une prononciation différente, chacune en relation avec l'orthographe du mot.