Les inconvénients de la circoncision pour les femmes (le prépuce, un tapis rouge)

  • Citation


    la circoncision aggrave la transmissibilité du SIDA aux femmes. Une étude a montré que le risque de contracter l'épidémie est de 55% plus élevé pour les compagnes de circoncis séropositifs dans les deux années suivant la circoncision de leur compagnon.


    Donc la circoncision augmente le risque d'infection de la femme. C'est étonnant puisque la kératinisation et donc la désensibilisation du gland n'intervient que progressivement. La première peut mener à des frottements accrus, la seconde à un corportement plus "brutal".
    Quel est donc le mécanisme invoqué par ces chercheurs, qui mènerait à ce risque d'infection accru ?

    Caillou, la cinquantaine entamée, intact.


    "Toute vérité franchit trois étapes. D'abord elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence." - Arthur Schopenhauer

  • J'avais aussi remarqué cette tentative d'explication de la circoncision qui favorise le SIDA, contrairement à certaines tendances qui disent le contraire.


    Sinon, je trouve toujours le pages d'academia.edu désagréables à lire entre la police de caractères inhabituelle et (surtout) l'impossibilité de naviguer dans le texte au clavier (on passe instantanément au début ou à la fin). La lecture sans la mise en page CSS est plus facile avec quelques bizarerie peu être volontaires : lorsque sur le texte mos en page, il y a un passage à la ligne, dans le texte brut, deux mots se touchent.

  • Ma police est Arrial narrow, c'est la plus étroite de toutes, ce qui permet la lecture la plus rapide.


    Si tu ne peux pas naviguer avec les flèches, c'est ton ordi qui déconne ; je n'ai aucun problème.


    Les quelques rares erreurs d'édition sont dues au site, je n'y peux rien, adresse-toi à academia.

    A bas les châtiments corporels des enfants ; ils leur enseignent la violence et la raison du plus fort.

  • Pour la lecture, chacun ses goûts, mais pour moi, cette police inhabituelle est moins facile à lire (justement parce que trop étroite).


    Dans une flotte de voiture, si une seule ne démarre pas, c'est de la mauvaise foi d'accuser le conducteur, surtout s'il arrive à utiliser toutes les autres.


    De même, je navigue très bien au clavier sur les sites web, sauf sur academia.edu où c'est au mieux du page par page. Donc, c'est academia.edu qui a un fonctionnement anormal et non mon ordinateur.


    Le web est un standard ouvert avec des pages en HTML, c'est à dire du texte parfaitement lisible avec de temps en temps des balises.


    Si on regarde le code source de tes pages sur academia.edu , on récupère des programmes javascript de plusieurs milliers ou dizaines de milliers de caractères qui ont besoin d'autres scripts de scribd.com pour réussir à afficher le texte de tes pages.
    C'est une bidouille très éloignée des standards du web et il ne fait pas de doute pour moi que s'ils ont mis au point un système aussi tordu, cela a été fait sciemment.


    En choisissant academia.edu plutôt qu'un autre hébergeur pour tes pages, tu es quand même complice (ou solidaire) de leurs choix technologiques, tout comme moi, je le suis de ceux de mes hébergeurs.

  • C'est le site universitaire de référence, utilisé notamment par E. Roudinesco, Carlo Bonomi, Richard Matteoli (l'inventeur du syndrome de Munchhaüsen par procuration transgénérationnel et collectif), l'universitaire intactiviste Brian Earp, je n'en connais pas d'autre, voici des années que j'y suis, j'approche les 50.000 vues, suis fréquemment dans le Top 1%, avec 530 personnes qui me suivent et tu es le seul à te plaindre, sans doute que tu travailles sur ton téléphone ; pas sérieux s'abstenir.


    Je n'ai aucune peine à ouvrir un fichier et n'ai aucun des inconvénients que tu décris et vais demander à des amis s'ils les ont aussi.

    A bas les châtiments corporels des enfants ; ils leur enseignent la violence et la raison du plus fort.

    Message modifié 3 fois, dernière modification par Hervé Bertaux-Navoiseau ().